
EN QUATRIÈME VITESSE (II)
par Roland Jaccard
Après ma mort, j’espère qu’on dira de moi : « C’était un vrai salopard, mais ses livres valaient le détour. » Mais j’ai bien peur que l’inverse se produise : « C’était un chic type, mais on peut se passer de ses sermons nihilistes ».
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